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Presse

ELLE

1 septembre 2017

Elle – anglais pour enfants Babylangues

ELLE - anglais pour enfants - Babylangues

20 minutes

5 février 2015

logoUne bonne initiation pour les petits

(…) Dans le même esprit l’institut Cervantès propose des ateliers gastronomie pour parler espagnol. Ainsi que des activités autour des arts plastiques, du cinéma, de la musique ou de l’art de la scène. La projection d’un film en espagnol suivi d’un débat ou une table ronde de présentation de l’exposition sont l’occasion non seulement d’entendre parler espagnol, mais aussi d’échanger avec les autres spectateurs. C’est aussi le moyen d’intégrer le bon accent. Par ailleurs, certaines de ces activités étant gratuites, la formule s’avère économique.

Pour les enfants, l’approche est tout autre. L’objectif n’est pas de les rendre bilingues, mais de les aider à s’imprégner d’une langue étrangère. L’école Wi School propose ainsi des ateliers ludiques (théâtre, yoga, musique, cuisine, crapbooking, origami, karaoké…) en anglais pour les 3 à 15 ans le mercredi, le samedi, ou en version hebdomadaire. «L’activité est le support pour pouvoir intégrer la langue progressivement. C’est en associant le geste à la parole que l’enfant va se familiariser avec l’anglais.», indique Flora Belot, la directrice de l’établissement. Et pour les plus petits, «ces ateliers permettent de déclencher la machine de l’apprentissage», souligne Flora Belot.

Les parents semblent d’ailleurs de plus en plus demandeurs de ce type d’activités pour initier leurs enfants à une langue étrangère, même si l’investissement n’est pas négligeable (450 euros par an pour un atelier hebdomadaire chez Wi School).  D’ailleurs de plus en plus d’organismes tels que Babylangues ou Speaking Agenci se sont engouffrés dans le créneau. Et ce n’est qu’un début…

Retrouvez l’article sur Babylangues et l’apprentissage précoce des langues sur le site de 20 minutes.

Metronews

3 juillet 2014

imgresBienvenue dans la galère du périscolaire. Moins d’école pour mieux d’école. Ok, c’est fait la réforme est passée. Mais. Si les journées raccourcissent pour les petits, tout le monde ne peut régler sa montre sur l’heure d’hiver en même temps. Il va bien falloir s’en occuper ou déléguer… A noter avant de se lancer dans la galère du périscolaire : bien vérifier les nouveaux horaires de SON école à la rentrée (le 2 septembre). Après, mode de garde économique, facile, hype ou éducatif… y à plus qu’à choisir. Et pour être au point à la rentrée, il vaut mieux s’en occuper dès le début de l’été.

Le + économique

Sans trop de surprise les modes d’accueil périscolaires proposés par le service public (Mairie etc.) sont les plus économiques. Enfin tout dépend de sa feuille d’imposition et du coefficient familial afférent (de 20 et 190 € par an à Lyon par exemple). Elles sont proposées par les communes jusqu’à au moins 16 h 30. Ensuite, garderie (en moyenne les horaires vont de 7 h 30 à 18 h 30), études et centre de loisirs prennent le relais. Les intervenants, agents spécialisés des écoles maternelles (ATSEM), animateurs, éducateurs d’activités physiques et sportives prennent le relais. Dans certaines communes, des conventions de partenariat avec des associations, des clubs sportifs, des réseaux d’enseignants volontaires (aide aux devoirs) ont été passées. Le + facile Passez par une agence de service, c’est bien pratique. L’offre est pléthorique et les sites fourmillent. Ce n’est pas pour autant la moins onéreuse : près de 18 € de l’heure (avant déduction fiscale) et des frais d’abonnement variables. Des CV actualisés et localisés, de la baby-sitter ponctuelle à la nounou périscolaire du quotidien, dépôt d’annonces, les agences en ligne fonctionnent presque toutes sur inscription payante : agence-nourrices.com, manounou.com, babynounou.fr, bebe-nounou.com (testé et approuvé par la rédaction), kinousgarde.com, kangouroukids.fr… Bref. Sinon, la vieille option de la petite annonce de baby-sitter au supermarché, à la boulangerie ou sur LeBonCoin marche encore. Pour faciliter les démarches administratives, si vous employez une personne à domicile : le site MillePépites s’occupe de tout (de la création du contrat, au calcul des vacances en passant par les déclarations Pages Emploi). Certaines nounous peuvent commencer à 6 h le matin. Le soir, vous pouvez aller jusque tard mais les heures supplémentaires commencent en général à 19 h.

Le + éducatif

Les faire garder OK. Mais si vous ne pensez pas que la télé soit la meilleure des baby-sitter, de nombreuses agences proposent des ateliers goûter, cours, peinture, arts plastiques, sorties culturelles et même de la garde en langue étrangère, avec une nounou ou des étudiants formés pour enseigner une langue à l’enfant (marche aussi pour les bébés). Compter entre 20 et 25 € de l’heure, mais certaines agrées permettent des aides (Crédit, CAF) et proposent même de diviser la note en deux en cas de garde partagée. Babylangues.com.

Pour lire l’article sur Babylangues et la garde d’enfants en anglais grâce à des natifs anglophones, cliquez ici.

L’Express

21 mai 2014

Logo_L'Express.svgComment initier tôt son enfant à l’anglais ?

Les ateliers babylangues, un éveil en douceur

Tous les soirs après la crèche ou l’école maternelle et les mercredis, les enfants vivent des situations réelles en anglais. Se laver les mains, manger leur goûter, faire un jeu, prendre le bain…

Céline, maman de Chloé, deux ans et demi, et Arthur cinq ans, a opté pour un baby-sitter américain de 19 ans. « Pour nous, il s’agissait de maintenir un niveau d’anglais déjà acquis grâce à deux ans passés à San Francisco. » Bilan après trois mois: « Ils sont à l’aise avec lui et n’ont pas perdu leurs connaissances. » Coût de l’opération avant déduction d’impôts: 1600 euros par mois. Un luxe inabordable pour la plupart des parents. Autre obstacle: trouver la perle rare. Les agences qui disposent de l’agrément pour la garde d’enfant de moins de trois ans comme Speaking Agency ou Babylangues croulent sous les demandes.

Retrouvez l’article dans son intégralité (concernant l’apprentissage précoce des langues et les babysitters anglophones de Babylangues) sur le site de l’Express.

La Voix du Nord – 12/09/2011

12 septembre 2011

imgresanglais pour enfant Lille

L’anglais, le chinois ou l’espagnol dès le berceau : l’apprentissage précoce des langues a le vent en poupe

Des cours d’anglais dès la maternelle à la nounou qui garde bébé dans la langue de Skakespeare, l’offre pour l’apprentissage précoce des langues est de plus en plus fournie à Lille. Jeudi dernier, l’école Enviedapprendre organisait sa fête de lancement. Enviedapprendre, dernière arrivée sur ce marché, joue la carte de la différence en proposant, outre l’anglais, l’enseignement de l’espagnol, du chinois et bientôt de l’arabe. La méthode en revanche, reste la même… Émilie Paguessorhaye va y enseigner l’anglais aux enfants de 3 à 12 ans. « C’est très axé sur l’oral, il ne faut pas qu’ils se rendent compte qu’ils sont en train d’apprendre. » Avec sa collègue Lorena Gonzalez, professeur d’espagnol, tout est bon pour cet enseignement qui cherche également à inculquer « le plaisir d’apprendre une langue » : la cuisine, le jeu, bien sûr, ou encore la musique… Marie, 7 ans, entamera sa troisième année d’anglais chez Enviedapprendre le 27 septembre, et s’initie déjà au chinois avec la maman d’une amie. « Le fait d’être en dehors du cadre scolaire est intéressant. En même temps, ça lui donne les sonorités, explique Emmanuelle, sa maman. Et puis, c’est aussi une ouverture culturelle. »Mais d’apprentissage, il est tout de même question. « Ce sont des choses que l’on voit à l’IUFM (Institut universitaire de formation des maîtres), explique Mathilde Vermeulen, professeur d’anglais en école privée et gérante d’Enviedapprendre. Des études montrent que plus les enfants sont jeunes, plus leur capacité à acquérir un langage est bonne. » « Le bien-êtrede l’enfant » L’engouement des parents semble être de plus en plus fort au point de voir cet enseignement dispensé à un public de plus en plus jeune. « Plus les enfants sont jeunes, plus il y a de demandes », confirme Anne Desplancke, coordinatrice chez A for Apple qui envisage de baisser l’âge limite d’entrée dans son institution actuellement fixé à 3 ans.
Même son de cloche chez Babylangues, un service de nounous bilingues installé à Lille depuis le début de l’année et qui intervient auprès d’une trentaine de familles : « La tranche qui marche le mieux, ce sont les 3-8 ans avec une cinquantaine d’enfants. Mais on nous appelle pour des enfants de plus en plus jeunes. À Bordeaux et à Lyon, nous avons même deux enfants d’un mois. »
Mais si la demande existe bel et bien, reste la question des éventuels risques d’un enseignement trop précoce. En avril, lors du festival des langues à la chambre de commerce, Beatrix Hoffmann, responsable pédagogique au Goethe Institut, s’est interrogée sur la possibilité d’ouvrir son établissement à des enfants plus jeunes : « Habituer l’oreille, je suis d’accord, il faut le faire. Que les enfants soient ouverts pour aller vers autre chose c’est très bien. Cela se fait naturellement dans le cadre de familles bilingues, mais il faut réfléchir à la façon de mettre cela en place dans une institution car il ne faut pas oublier que l’apprentissage passe par le bien-être de l’enfant. »
Retrouvez l’article sur le site de la Voix du Nord ici.

Figaro Madame

26 mars 2011

Vignette pour la version du 17 décembre 2008 à 20-10

 

L’anglais au berceau

On n’attend pas le CE1 pour l’initier à la langue de Shakespeare. De la nurse en V.O. jusqu’à l’atelier d’éveil, en passant par les DVD pour bébé, toutes les options en la matière.

Une nounou anglophone
Des ateliers dès 12 mois
Depuis deux ans, Babylangues fondé par une enseignante, propose des ateliers très ludiques adaptés aux petits.
Deux formules
L’atelier in situ de quarante-cinq minutes se déroule en une succession de séquences (de trois minutes) mêlant spectacles, jeux corporels, comptines…
L’atelier à domicile permet de regrouper plusieurs enfants pendant une heure et demie.
La plus efficace ?
Le péri-scolaire : sortie de classe et surtout le mercredi non-stop (11€ l’heure après déduction fiscale, 10€ pour le mercredi, 30€ l’atelier d’une heure et demie).
www.babylangues.com

LE FIGARO

26 janvier 2011

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Article 

Le Grand retour des nurses anglaises
Par Agnès Leclair

Des sociétés proposent aux parents des ateliers de langues à partir de 12 mois et des nounous anglophones.

C’est la version moderne de la nurse anglaise. À Paris et Bordeaux, une société s’est lancée fin 2008 dans les cours d’anglais pour les tout-petits et propose depuis la rentrée les services de nounous anglo-saxonnes. Du baby-sitting dans la langue de Shakespeare, l’idée peut faire sourire. Mais pour la créatrice de Babylangues, Caroline Benoit-Levy, les bénéfices de cette initiation au berceau ne font pas de doute. «La maîtrise d’une langue étrangère passe par une acquisition précoce et une exposition linguistique répétée, notamment dans le rituel du quotidien», explique la jeune femme, professeur certifié d’anglais.

Sa société offre une introduction à l’anglais dès 12 mois, a vant même l’apparition des premiers mots. Et ce avec des professeurs ayant l’anglais pour langue maternelle. «Plusieurs études ont démontré qu’avant 3 ans, un enfant peut entendre et reproduire tous les sons et accents. Une capacité qu’il perd en grandissant, avance Caroline Benoit-Levy. À partir de 7 ans, avec l’acquisition de la lecture et de l’écriture, l’apprentissage des langues devient un processus cérébral.»

«Nous expliquons aux parents que le plaisir est la clé de l’apprentissage pour les petits. Il ne faut pas voir ces ateliers sous l’angle de la compétition», renchérit Caroline Benoit-Levy. «C’est tout de même un phénomène très parisien, reconnaît Catherine Leroy. Les parents qui ont recours à nos services sont élitistes, ambitieux. Ce sont pour la plupart de cadres supérieurs qui veulent que leurs petits soient bilingues.» Les adeptes de ces formules se défendent de mener une course à la réussite. «Je ne souhaite pas particulièrement que ma fille fasse des études exceptionnelles, indique la maman de Yelina, 2 ans, mais qu’elle ait la possibilité de parler couramment deux langues.» La fillette sait déjà nommer les animaux, compter et chantonner en anglais.

Trois euros de plus par heure

La mère de Bastien, 3 ans et demi, a choisi la formule de la nounou anglo-saxonne en garde partagée. C’est un Américain qui s’occupe de son garçon et d’une petite fille du même âge en version anglaise. «Je ne voulais pas que ce soit l’école après l’école, raconte la maman. Mais un système de garde convivial.» Quelques mois seulement après la rentrée, son fils «comprend beaucoup de choses et prononce incroyablement bien. Et le prix n’est pas très loin de celui d’une nounou standard recrutée via une société de service à la personne». Elle débourse tout de même deux ou trois euros de plus pour une heure. À 22 mois, Lia, habituée des ateliers, babille en «franglais». «Elle ne risque pas de mal assimiler [une langue ]» , rassure Caroline Benoit-Levy. «Nous accueillons un certain nombre de petits issus d’une double culture et ce sont eux qui apprennent le plus vite. Plus on parle de langues, plus cela devient facile», prêche-t-elle.

Lille Metropole

24 janvier 2011

Le portail des habitants de Lille M_tropole, page d'accueilDevenir bilingue, un jeu d’enfant ! NOUNOU BILINGUE lille

En jouant, en prenant son goûter ou son bain, en s’amusant auprès de sa baby-sitter anglophone ou hispanophone, l’enfant apprend naturellement une autre langue. Le concept : proposer des nounous – principalement des étudiantes – dont la langue maternelle est l’anglais, l’allemand, le chinois ou l’arabe…[…] Concrètement, les sorties d’école et la garde du mercredi deviennent « des temps d’exposition à une autre langue ». L’enfant entre en contact naturellement avec la langue étrangère.
Chez Babylangues, depuis 2008, la fondatrice de cette entreprise propose un service de garde assuré par des intervenants de langue maternelle anglaise. « L’idéal est d’être en contact avec l’anglais un petit peu chaque jour », explique Caroline Benoit-Levy, professeure et formatrice, passionnée par les langues et par les tout-petits. Toutefois, deux ou trois gardes dans la semaine permettent de progresser. Sa méthode s’appuie sur les rituels du quotidien : en rentrant de l’école, retirer ses chaussures, se laver les mains… et répéter des mots, des chansons, jour après jour, permet à l’enfant de se les approprier naturellement. « Les résultats sont époustouflants. Mais cela n’a rien de magique, on ne devient pas bilingue en quelques mois », prévient Caroline Benoit-Levy. Pour elle, le bénéfice est ailleurs : « Quel enrichissement de combiner différentes manières d’exprimer les choses, les sentiments ! » www.babylangues.com

Nounou bilingue Lille

Presse Océan

21 janvier 2011

imgres-4Anglais enfant nantes

Mon baby-sitter vient de Washington.
Petite enfance. Le baby-sitting en anglais, en espagnol, en italien… c’est dans l’air du temps.
A l’occasion de l’ouverture de Babylangues à Nantes, découvrez l’article de Presse Océan au travers de l’histoire de Brandon et des deux petits Nantais dont il s’occupe.

Baby Langue

 

France Soir

1 décembre 2010

logo_FSoirnounou bilingue

Ma nounou est un génie
Les agences de nounous ne se contentent plus de garder les bambins, elles proposent une foule d’activités d’éveil à domicile : cuisine, anglais, sciences, théâtre…
Chaque occasion est bonne pour s’éveiller, apprendre, découvrir. Les sociétés spécialisées dans la grade d’enfants l’ont bien compris. Elles multiplient depuis la rentrée de nouvelles offres pour occuper intelligemment les enfants.
Anglais, chinois, russe…
Très en vogue, l’éveil linguistique s’adresse désormais aux plus jeunes grâce à des agences comme Babylangues.
« Il s’agit de développer la compréhension et la pratique spontanée de l’anglais dans des situations de la vie quotidienne », précise Olivier Gresse, responsable des Cours Legendre, qui proposent dès 3 ans une garde d’enfant entièrement en anglais par des intervenants anglophones.
Combien ça coûte
Bien sûr, toutes ces prestations coûtent plus cher que l’emploi d’une assistante maternelle classique ! Les prix s’échelonnent de 18 à 20 € de l’heure, sur lesquels vous bénéficiez d’une réduction d’impôts de 50 %. Ces formules ouvrent également droit aux allocations de la CAF.
Plus d’infos
www.babylangues.com

Nounou bilingue