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L’Express

21 mai 2014

Logo_L'Express.svgComment initier tôt son enfant à l’anglais ?

Les ateliers babylangues, un éveil en douceur

Tous les soirs après la crèche ou l’école maternelle et les mercredis, les enfants vivent des situations réelles en anglais. Se laver les mains, manger leur goûter, faire un jeu, prendre le bain…

Céline, maman de Chloé, deux ans et demi, et Arthur cinq ans, a opté pour un baby-sitter américain de 19 ans. « Pour nous, il s’agissait de maintenir un niveau d’anglais déjà acquis grâce à deux ans passés à San Francisco. » Bilan après trois mois: « Ils sont à l’aise avec lui et n’ont pas perdu leurs connaissances. » Coût de l’opération avant déduction d’impôts: 1600 euros par mois. Un luxe inabordable pour la plupart des parents. Autre obstacle: trouver la perle rare. Les agences qui disposent de l’agrément pour la garde d’enfant de moins de trois ans comme Speaking Agency ou Babylangues croulent sous les demandes.

Retrouvez l’article dans son intégralité (concernant l’apprentissage précoce des langues et les babysitters anglophones de Babylangues) sur le site de l’Express.

France 5 – Les Maternelles

2 octobre 2013

logo-france-5_114114_wideLes maternelles – bilingue dès le berceau

Présentation de la garde d’enfants en anglais grâce au témoignage d’Elsa avec ses enfants Bastien et Florian et leur formidable intervenant Sam. « Comment devenir bilingue dès le berceau », tel est le titre de la célèbre émission de France 5.

 

BBC et NPR

10 février 2013

logo BBC_World_ServiceInterview de Caroline Benoit-Levy, fondatrice de Babylangues, et Claude Hagège par Anita Elash pour la BBC et NPR.

French not happy about English language proposal

BY THE WORLD ⋅ FEBRUARY 10, 2011 ⋅ By Anita Elash
Here’s one way to get under a Frenchman’s skin — suggest everyone in France should learn English. France’s education minister Luc Chatel recently announced he wants French children to study English, starting at age three. That is already happening at some French private schools.
At the Babylangues language school in Paris, toddlers sing songs and play games, to get a feel for the sound of English. They are too young to learn grammar and spelling, but they are learning colors and parts of the body. Caroline Benoit-Levy, a linguist and founder of Babylangue, said it is easier for young children to learn a second language. Learning a second language early “Kids who learn a foreign language early in life have a better ability to read and write,” she said. “They have a vocabulary that’s richer compared to monolingual kids. Learning another language helps you get better at your first language. It enhances your mother tongue as well.” But for most children in France, second language instruction doesn’t start until age seven, and most French people never master any language but their mother tongue.
Education Minister Luc Chatel has said that he would like to rectify that. “The fact the French have not mastered English is a major handicap,” Chatel said in an interview with French public television. He plans to reinvent how English is taught there. Chatel said that would mean starting English classes in nursery school, using the Internet and podcasts as learning tools. Language of power French governments have made other attempts over the years to persuade the French to learn English, but none has provoked quite as much anger as Chatel’s recent announcement has. “It’s totally pointless, if not ridiculous,” said Claude Hagege, a linguist who is one of the loudest critics of Chatel’s plan. Hagege has won awards in France for his work to promote and maintain a diversity of languages, and he supports the idea of people learning several languages if they can. But Hagege said that language is power, and focusing on English gives too much power to countries like the United States. “Speaking English is not quite innocent,” Hagege said. “Speaking English is a guilty act because it is the language of very wealthy, industrialized countries. And I think any person who has a minimum of sense of justice cannot accept that because this means domination by the countries whose mother tongue this language is.”
But for the parents who bring their children to study English at Babylangues, language diversity and international power struggles aren’t their primary concern. One parent there, who didn’t give her name, said “French is a beautiful, melodious language but the fact is 80 percent of people in the world speak English, so it’s absolutely essential to speak it as well as another language.” That statistic is an exaggeration. Still, the woman said that she hopes she is giving her daughter a head start in a world where, like it or not, people who speak English often get the best opportunities.

France 2 – Comment ça va bien?

10 décembre 2012

100px-Logo_France_2.svg_Retrouvez les ateliers Babylangues en anglais pour les enfants dans l’émission de Stéphane Bern sur France 2.

 

L’Express

17 novembre 2012

Logo_L'Express.svgCes maternelles qui jouent aux prépas

My nounou is rich

Parler anglais, c’est obligatoire, of course! Quoi de mieux que le berceau pour commencer à faire areuh? « Les bébés sont des éponges », répètent à l’envi les pédagogues. Du coup, les organismes qui placent des baby-sitters bilingues se multiplient. Babylangues propose ainsi d’apprendre une langue étrangère dès 9 mois, « avant même l’apparition des premiers mots ». La société, créée en 2008, intervient même dans des crèches. Pour 21 euros de l’heure, Baby-Speaking offre également les services de nounous anglo-phones. Ces dernières s’appuient sur un support pédagogique maison, conçu pour découvrir les couleurs, les chiffres, les comptines. Le but : jouer en apprenant, sans stress.La nouvelle mode, cependant, est non plus d’initier à l’anglais les tout-petits – banal! – mais au chinois, plus porteur. Picquier Jeunesse édite ainsi Mon premier livre de chinois (14€), où l’on « s’amuse avec les idéogrammes ». Des cédéroms d’initiation pour les 4-7 ans développent aussi des jeux d’associations son-image-mot. Patrick Bruel a déjà mis ses rejetons au travail.

 

Pour lire l’article dans son intégralité et retrouver Babylangues, ses nounous anglaises et autres baby-sitters américaines, accédez  directement au site de l’Express.

TF1 – Journal de 20 heures

19 septembre 2012

imgres-1TF1 – Journal de 20 heures

Toutes les enquêtes le prouvent, les Français ne sont pas très doués pour s’exprimer dans la langue de Shakespeare. L’apprentissage à la française, centré sur l’écrit et non sur l’oral, y serait pour beaucoup. Un démarrage précoce est une bonne solution, comme l’illustre l’association Babylangues qui propose un apprentissage de l’anglais dès le plus jeune âge grâce à des ateliers parents enfants accueillant les enfants dès l’âge de 9 mois.

Pour retrouver la vidéo directement sur le site de TF1, cliquez ici.

La Voix du Nord – 12/09/2011

12 septembre 2011

imgresanglais pour enfant Lille

L’anglais, le chinois ou l’espagnol dès le berceau : l’apprentissage précoce des langues a le vent en poupe

Des cours d’anglais dès la maternelle à la nounou qui garde bébé dans la langue de Skakespeare, l’offre pour l’apprentissage précoce des langues est de plus en plus fournie à Lille. Jeudi dernier, l’école Enviedapprendre organisait sa fête de lancement. Enviedapprendre, dernière arrivée sur ce marché, joue la carte de la différence en proposant, outre l’anglais, l’enseignement de l’espagnol, du chinois et bientôt de l’arabe. La méthode en revanche, reste la même… Émilie Paguessorhaye va y enseigner l’anglais aux enfants de 3 à 12 ans. « C’est très axé sur l’oral, il ne faut pas qu’ils se rendent compte qu’ils sont en train d’apprendre. » Avec sa collègue Lorena Gonzalez, professeur d’espagnol, tout est bon pour cet enseignement qui cherche également à inculquer « le plaisir d’apprendre une langue » : la cuisine, le jeu, bien sûr, ou encore la musique… Marie, 7 ans, entamera sa troisième année d’anglais chez Enviedapprendre le 27 septembre, et s’initie déjà au chinois avec la maman d’une amie. « Le fait d’être en dehors du cadre scolaire est intéressant. En même temps, ça lui donne les sonorités, explique Emmanuelle, sa maman. Et puis, c’est aussi une ouverture culturelle. »Mais d’apprentissage, il est tout de même question. « Ce sont des choses que l’on voit à l’IUFM (Institut universitaire de formation des maîtres), explique Mathilde Vermeulen, professeur d’anglais en école privée et gérante d’Enviedapprendre. Des études montrent que plus les enfants sont jeunes, plus leur capacité à acquérir un langage est bonne. » « Le bien-êtrede l’enfant » L’engouement des parents semble être de plus en plus fort au point de voir cet enseignement dispensé à un public de plus en plus jeune. « Plus les enfants sont jeunes, plus il y a de demandes », confirme Anne Desplancke, coordinatrice chez A for Apple qui envisage de baisser l’âge limite d’entrée dans son institution actuellement fixé à 3 ans.
Même son de cloche chez Babylangues, un service de nounous bilingues installé à Lille depuis le début de l’année et qui intervient auprès d’une trentaine de familles : « La tranche qui marche le mieux, ce sont les 3-8 ans avec une cinquantaine d’enfants. Mais on nous appelle pour des enfants de plus en plus jeunes. À Bordeaux et à Lyon, nous avons même deux enfants d’un mois. »
Mais si la demande existe bel et bien, reste la question des éventuels risques d’un enseignement trop précoce. En avril, lors du festival des langues à la chambre de commerce, Beatrix Hoffmann, responsable pédagogique au Goethe Institut, s’est interrogée sur la possibilité d’ouvrir son établissement à des enfants plus jeunes : « Habituer l’oreille, je suis d’accord, il faut le faire. Que les enfants soient ouverts pour aller vers autre chose c’est très bien. Cela se fait naturellement dans le cadre de familles bilingues, mais il faut réfléchir à la façon de mettre cela en place dans une institution car il ne faut pas oublier que l’apprentissage passe par le bien-être de l’enfant. »
Retrouvez l’article sur le site de la Voix du Nord ici.

Figaro Madame

26 mars 2011

Vignette pour la version du 17 décembre 2008 à 20-10

 

L’anglais au berceau

On n’attend pas le CE1 pour l’initier à la langue de Shakespeare. De la nurse en V.O. jusqu’à l’atelier d’éveil, en passant par les DVD pour bébé, toutes les options en la matière.

Une nounou anglophone
Des ateliers dès 12 mois
Depuis deux ans, Babylangues fondé par une enseignante, propose des ateliers très ludiques adaptés aux petits.
Deux formules
L’atelier in situ de quarante-cinq minutes se déroule en une succession de séquences (de trois minutes) mêlant spectacles, jeux corporels, comptines…
L’atelier à domicile permet de regrouper plusieurs enfants pendant une heure et demie.
La plus efficace ?
Le péri-scolaire : sortie de classe et surtout le mercredi non-stop (11€ l’heure après déduction fiscale, 10€ pour le mercredi, 30€ l’atelier d’une heure et demie).
www.babylangues.com

20 MINUTES – NANTES

15 février 2011

une baby-sitter anglophone initie l’enfant à la langue étrangère

Une baby-sitter anglophone. L’anglais dès l’âge de un an.
«Tout petit, on a une capacité de perception des sons exceptionnelle, mais elle diminue en grandissant. La prononciation d’un enfant de 18 mois est impeccable.  A quatre ans, elle l’est déjà moins  », explique Caroline Benoit-Levy, la fondatrice de Babylangues, une association qui propose des garde-d’enfants à domicile dès l’âge d’un an, avec des babysitters anglophones natifs. « Plus on est jeune, plus l’acquisition d’une langue est naturelle. Après sept ans, les enfants savent lire et écrire, alors l’apprentissage est plus cérébral. » Voilà pourquoi, en 2008, cette professeure d’anglais de 37 ans a lancé ce baby-sitting novateur à Bordeaux. Depuis début janvier, l’association s’est installée à Nantes et a déjà séduit une dizaine de familles*.
Tout au long de la journéePendant la garde de l’enfant, 50 % du temps est dédié à des jeux, des chansons en langue anglaise. L’apprentissage se poursuit ensuite autour des rituels qui constituent la journée de l’enfant : le goûter, le bain… « C’est très
important que l’enseignement s’ancre dans le quotidien. Car c’est dans la ritualisation que l’enfant trouve des repères langagiers », souligne Caroline.
Aline Crépeau a choisi ce type de garde pour Hugo et Titouan, ces enfants de
trois et cinq ans. « Dans le système français, les enfants sont au contact des langues étrangères trop tard, estime la maman nantaise. Pourtant, tout petit, ils sont comme des éponges, ils progressent très vite. »
* Tarif entre 10 et 12,50 euros pour 2 h 30, après réduction d’impôt de 50 %.
Pour plus d’informations, www.babylangues.com
SOCIÉTÉ
Caroline Bonnin

LE FIGARO

26 janvier 2011

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Article 

Le Grand retour des nurses anglaises
Par Agnès Leclair

Des sociétés proposent aux parents des ateliers de langues à partir de 12 mois et des nounous anglophones.

C’est la version moderne de la nurse anglaise. À Paris et Bordeaux, une société s’est lancée fin 2008 dans les cours d’anglais pour les tout-petits et propose depuis la rentrée les services de nounous anglo-saxonnes. Du baby-sitting dans la langue de Shakespeare, l’idée peut faire sourire. Mais pour la créatrice de Babylangues, Caroline Benoit-Levy, les bénéfices de cette initiation au berceau ne font pas de doute. «La maîtrise d’une langue étrangère passe par une acquisition précoce et une exposition linguistique répétée, notamment dans le rituel du quotidien», explique la jeune femme, professeur certifié d’anglais.

Sa société offre une introduction à l’anglais dès 12 mois, a vant même l’apparition des premiers mots. Et ce avec des professeurs ayant l’anglais pour langue maternelle. «Plusieurs études ont démontré qu’avant 3 ans, un enfant peut entendre et reproduire tous les sons et accents. Une capacité qu’il perd en grandissant, avance Caroline Benoit-Levy. À partir de 7 ans, avec l’acquisition de la lecture et de l’écriture, l’apprentissage des langues devient un processus cérébral.»

«Nous expliquons aux parents que le plaisir est la clé de l’apprentissage pour les petits. Il ne faut pas voir ces ateliers sous l’angle de la compétition», renchérit Caroline Benoit-Levy. «C’est tout de même un phénomène très parisien, reconnaît Catherine Leroy. Les parents qui ont recours à nos services sont élitistes, ambitieux. Ce sont pour la plupart de cadres supérieurs qui veulent que leurs petits soient bilingues.» Les adeptes de ces formules se défendent de mener une course à la réussite. «Je ne souhaite pas particulièrement que ma fille fasse des études exceptionnelles, indique la maman de Yelina, 2 ans, mais qu’elle ait la possibilité de parler couramment deux langues.» La fillette sait déjà nommer les animaux, compter et chantonner en anglais.

Trois euros de plus par heure

La mère de Bastien, 3 ans et demi, a choisi la formule de la nounou anglo-saxonne en garde partagée. C’est un Américain qui s’occupe de son garçon et d’une petite fille du même âge en version anglaise. «Je ne voulais pas que ce soit l’école après l’école, raconte la maman. Mais un système de garde convivial.» Quelques mois seulement après la rentrée, son fils «comprend beaucoup de choses et prononce incroyablement bien. Et le prix n’est pas très loin de celui d’une nounou standard recrutée via une société de service à la personne». Elle débourse tout de même deux ou trois euros de plus pour une heure. À 22 mois, Lia, habituée des ateliers, babille en «franglais». «Elle ne risque pas de mal assimiler [une langue ]» , rassure Caroline Benoit-Levy. «Nous accueillons un certain nombre de petits issus d’une double culture et ce sont eux qui apprennent le plus vite. Plus on parle de langues, plus cela devient facile», prêche-t-elle.